Octobre 2017
Réunions fantômes, faux procès-verbaux, anomalies dans plusieurs dizaines d'autres dossiers, « faux et usage de faux », « prise d’intérêt » et « entrave aux marchés publics » ...
Les audiences inscrites au rôle de la chambre du conseil du tribunal correctionnel de Tournai avaient été reportées à deux reprises, le 17 janvier et le 5 mai 2017. Marc Duvivier a enfin (!) finalement été renvoyé devant le correctionnel par la chambre du conseil ce mardi 24 octobre 2017. Il a d’ores et déjà annoncé qu’il ne ferait pas appel de cette décision mais qu’il se représenterait bien aux élections communales de 2018.
« Pour ce genre de personnage, la justice a tendance à beaucoup traîner et ensuite juger que le délai raisonnable est dépassé. Parfois elle juge les intéressés coupables parce que les faits sont avérés mais ne prononce pas de peine. » (Bernard Meurice)
Voilà donc, pour Ath, le renouveau annoncé au P.S. !
« Le vrai problème est qu’ils ont transformé une vocation momentanée en rente à vie (...) Ce que je pointe, c’est l’acharnement à s’accrocher au pouvoir. Maladie qui touche l’ensemble de la classe politique. Parce qu’ils ont la vanité de penser qu’ils sont indispensables et irremplaçables ? Ou parce qu’ils sont addicts à la drogue du pouvoir ? (...) Je crois que le mieux serait de s’exposer le moins longtemps possible à la toxicité psychologique du pouvoir politique (...) Des mandats limités dans le temps redonneraient une seconde jeunesse à notre démocratie qui en a bien besoin. » (Pascal De Sutter)
Mars 2017
Mars 2017
- La pédophilie existe dans tous les milieux et lieux : famille (surtout), voisinage et relations, écoles, clubs sportifs et culturels, associations, Eglise, etc. ; principalement donc dans les lieux ayant en charge des enfants et ayant un contact régulier avec eux.
- L'Eglise n'a pas à cacher quoi que ce soit à la justice dans le cas de prêtres pédophiles dévoyés ; elle doit exclure les prêtres coupables de pédophilie de la prêtrise et de tout mandat dans l'Eglise et ses associations. La loi du silence ou la protection des prédateurs sexuels est ou serait inacceptable et doit être sévèrement punie. L'Eglise a le devoir de signaler à la justice tout cas d'abus sexuel dont elle a connaissance de la part d'une ou d'un religieux.
- Il doit en être de même pour tous les autres lieux et milieux s'occupant d'enfants : pas de silence, pas de déni, pas de tolérance, pas de protection des pédophiles prédateurs de la part des responsables de ces lieux et milieux. Licenciement pour les prédateurs pédophiles et interdiction de tout mandat s'exerçant sur des enfants.
Février 2017
« Il va falloir revoir les investissements prévus (...)
« À plusieurs reprises par le passé, le ministre Paul Furlan (PS) a fait passer le feu au vert pour la Ville d’Ath, malgré des rapports (extrêmement) négatifs souvent remis par le Centre régional d’aide aux Communes (CRAC) (...)
« La tutelle reproche notamment à la Ville de ne pas avoir respecté la balise d’investissement, laquelle avait d’ailleurs déjà été dépassée au cours des exercices précédents. La tutelle régionale a également tiqué devant le non-respect de la trajectoire budgétaire, laquelle conduirait à un déficit à l’exercice propre dès 2018 et à un déficit à l’exercice global dès 2019 (...)
« Le CRAC regrette notamment une augmentation des dépenses de fonctionnement, les "engagements trop importants (+27ETP) prévus au plan d’embauche alors qu’un gel de celui-ci était prévu", une hausse des subsides "qui se chiffre à plus de 75.000€, ce qui n’est pas tenable pour la Ville", une surestimation des recettes du PI, l’évolution trop importante de la charge de dette. Ou encore (en gras), "le très large dépassement de la balise d’emprunts (+10.897.323€)" (...)
« L’année électorale 2018 risque bien d’être celle des vaches maigres, avec une tournée minérale en lieu et place du mousseux des inaugurations. »
Janvier 2017
L’actuel bourgmestre d’Ath Marc Duvivier (PS) comparaîtra devant la Chambre du conseil du tribunal correctionnel de Tournai suite à la triple inculpation dont il a fait l’objet en tant que secrétaire communal en mai 2010.
Initialement fixée au 17 janvier, l’audience devant la chambre du conseil a été reportée au 5 mai 2017. Le juge décidera ensuite de la suite du dossier : la comparution devant le tribunal correctionnel ou le non lieu. Le verdict sera connu "au plus tôt en juin et au plus tard en septembre" selon Gérard Rivière, l’avocat du bourgmestre d’Ath. Gagner du temps ou tenter d'atteindre la prescription ?
Décembre 2016
Régler la problématique des Sans domicile fixe (SDF) à Ath avec des « bonnes volontés » seulement, mais pas de professionnels, tout en reprochant aux pauvres d'être pauvres. “ Au-delà, la Ville a aussi prévu de (re)loger ces personnes, à condition qu’elles le souhaitent, dans un immeuble à l’angle de la rue de Gand et de la rue des Frères Descamps. « Cinq personnes sans abri l’année dernière sont toujours dans cet immeuble » note Marc Duvivier. « Les tentatives d’intégration et de relance dans le circuit du travail ont été vouées à l’échec par manque de bonne volonté de ces personnes ; elles estiment qu’elles sont bien ainsi… ».” Sic. (1) L'annonce faite l'année dernière d'engager un travailleur social spécialisé n'a donc pas été réalisée mais l’autorité communale pense pouvoir régler la question avec des « bonnes volontés », malgré la « mauvaise volonté » des intéressés et l’amour qu’ils ont de leur servitude ...
Pitoyable !
Dans notre société, il y a du travail pour tous, tout le monde sait cela, mais les pauvres n'en veulent pas. Jugement simpliste, péremptoire et confondant, typiquement paternaliste bien-pensant qui dénote une méconnaissance, voire un mépris pour les victimes et les mécanismes de la grande misère dont elles sont l'objet. Sait-on seulement de quels maux physiques, mentaux et psychiques souffrent ceux qui vivent dans la rue, et des assuétudes dont ils sont souvent victimes ? Faute de mieux, on fait donc la « charité », tout en jugeant les pauvres et en leur reprochant d'être responsables de leur pauvreté. Et de manquer de « bonne volonté ».
Pathétique !
Nous n'avons rien contre les pauvres, mais il faut qu'ils soient de bons pauvres : discrets, méritants, présentant bien, irréprochables, propres sur eux et tout et tout. Pas ces autres salauds de pauvres que nous ne saurions voir et qui manquent de « bonne volonté ». Il est urgent d’inscrire dans la liste des discriminations prohibées la discrimination pour précarité sociale, ou encore pour vulnérabilité économique, et tout aussi impérieux de considérer le mépris social comme un poison pour la démocratie et qu'agir contre est un devoir pour chacun.
L’analyse correcte des causes de la grande pauvreté (2) et une mise en place d'une véritable politique communale pour la combattre, avec un personnel compétent, eut mieux convenu de la part d'une famille socialiste désormais unie à une famille libérale.
« Rendez justice au faible, à l'orphelin ; faites droit à l'indigent, au malheureux », est-il écrit au frontispice de la grande cheminée de l'Hôtel de ville d'Ath.
Tous les hommes, les femmes et les enfants de la terre sont égaux en dignité et en droit. La misère est inacceptable, elle constitue une violation des Droits de l'Homme. Affirmons, exigeons que toute personne ait réellement accès à l'ensemble des droits fondamentaux.
_________________
(1) Les sans-abri à Ath (Le Courrier de l’Escaut, 30 novembre 2016)
(2) Pauvreté (Site Internet, Walter De Kuyssche)
Décembre 2016
Quand mon fils Nicolas eut terminé ses études universitaires, il y a presque vingt ans de cela, il est allé, durant un an, s'engager gratuitement dans une association caritative protestante, la Simon Community, à Cork, ville de 120.000 habitants, au sud de l'Irlande, s'occupant, avec d'autres jeunes universitaires européens, des SDF et autres lourds paumés du coin.
Durant cette année, mon fils Nicolas a notamment rencontré des jeunes Allemands, universitaires comme lui. La grosse question de ces jeunes universitaires Allemands était celle de la responsabilité de leurs grands-pères durant la seconde guerre mondiale. Affreux et terrible dilemme, parce que ces jeunes Allemands étaient, comme mon fils, de jeunes généreux utopistes, qui donnaient gratuitement leur énergie et leur temps pour tenter d'aider des Humains étrangers, malheureusement tombés dans le fond du panier de l'humanité.
Malgré leur évidente gratuite générosité, ces jeunes Allemands scolarisés restaient taraudés par la question de la culpabilité de leurs aïeux. Cette histoire est terrible, mais tout à l'honneur de ces jeunes Allemands.
Puissions-nous, nous aussi, les bons petits blancs Européens, souvent sûrs de nous, nous souvenir et assumer ce que certains de nos aïeux firent lors des colonisations.
Affreux.
Novembre 2016
Au Nigeria, à Lagos, un enfant de 7 ans a été lynché devant une foule, puis brûlé vif, pour avoir tenté de voler de la farine de manioc dans une boutique.
Un acte insoutenable qui n’est pourtant pas un cas isolé dans ce pays d’environ 186 millions d’âmes. Les délinquants avérés ou supposés subissent les pires barbaries et finissent bien trop souvent carbonisés sur la place publique.
En mars dernier, quatre étudiants de l’Université de Port Harcourt au Nigeria, présumés voleurs, ont été sauvagement lynchés avant d’être brûlés vifs par une foule en délire. (metrodakard.net, 18 novembre 2016)
Pauvre petit. Affreux, horrible, inhumain.
L'Homme est capable des pires cruautés, des pires horreurs, des pires monstruosités.
FERMONS LES YEUX, NE DISONS RIEN, TOUT VA BIEN.
Evidemment que nous ne sommes pas coupables. Evidemment.
Mais quand l'on connaît l'histoire de l'exploitation de l'Afrique noire par l'Europe blanche ; quand on sait l'affreuse misère et l'incroyable ignorance noire dans laquelle se dépatouille toujours tant bien que mal (et plutôt mal que bien) la plupart des pays d'Afrique - grâce et au lendemain de notre croisade civilisationnelle que nous avons développée là-bas (et que d'aucuns et d'autres poursuivent toujours), alors nous pouvons pour le moins penser que nous tous, collectivement, les ex- et nouveaux "colonisateurs", toujours superbes exploiteurs de l'Afrique noire, nous sommes collectivement, si pas coupables,
au moins responsables de quelque chose.
Pareil martyr d'un petit enfant misérable, fruit de la misère noire et de l'ignorance crasse, eux-mêmes conséquences de siècles d'exploitation, semblable martyr d'enfant n'est, aujourd'hui, absolument plus tolérable.
FERMONS LES YEUX, NE DISONS RIEN, TOUT VA BIEN.
Septembre et novembre 2016
Voici arrivée la revanche des refoulés !
Vous les nantis, putatifs parangons de tolérance, vous qui nous avez ignorés durant des années, maintenant nous allons nous venger ! L’ignorance et la déraison de tous les Trump, Le Pen et autres Sarah Palin importent peu : voici désormais venu le temps de notre vengeance !
Car il y a pire aujourd’hui : après le mépris des élites libérales, voici que les élites socialistes ne veulent plus rien avoir à faire avec la classe ouvrière. Des gens comme des Emmanuel Valls ou autres plastronneurs tels des Emmanuel Macron et d’autres socialistes encore, de France, d’Allemagne, de Belgique, des Etats-Unis et d’ailleurs, ont laissé tomber le petit peuple pour se concentrer sur les questions culturelles, plus nobles, supérieures, intelligentes, clairvoyantes, ouvertes au monde… qui les rapprochent de l’intelligentsia, de la grosse bourgeoisie, voire de l’aristocratie financière, culturelle ou d’Etat… Ou pour sombrer dans de sordides petites ou grandes histoires de corruptions et d’indignes tricheries.
Octobre 2016
Admettant que les Services du Patrimoine auraient dû être consultés mais qu'ils ne l'ont pas été, entonnant une antienne pour dénoncer la lenteur de certains services administratifs, expliquant que ces services n’étaient pas forcément toujours en phase avec la réalité, le bourgmestre d’Ath, Marc Duvivier (PS), y est allé d’un refrain primaire dont il a secret, lors du conseil communal du 28 octobre 2016 : « Trop d’administration nuit à l’économie » !
Oubliant ainsi un peu vite que : « ENTRE LE FORT ET LE FAIBLE, ENTRE LE RICHE ET LE PAUVRE, ENTRE LE MAÎTRE ET LE SERVITEUR, C'EST LA LIBERTÉ QUI OPPRIME ET LA LOI QUI AFFRANCHIT. » (Henri Lacordaire, moine dominicain, député de la Constituante en 1848, siégeant à l’extrême gauche.) Et que toute tentative, si minime soit elle, de faire accréditer l'idée qu'il est des règles que l'on peut enfreindre est, de la part du premier magistrat d'une cité, tout simplement inacceptable. La fin, fut-elle honorable, ne justifiant jamais l'usage de moyens désavouables.
Les trahisons politiques et idéologiques sont toujours proportionnelles au poste que l'on occupe.
C'EST PARCE QUE TROP DE SOCIALISTES ADOPTENT DÉSORMAIS LES THÈSES, LES APPROCHES ET LES DISCOURS LIBÉRAUX QUE LE SOCIALISME S’ESSOUFFLE ET QUE LE NÉOLIBÉRALISME TRIOMPHE.
« Donc, considérer comme corrompu le principe démocratique. Témoin, dans les esprits, la transformation managériale du monde s'accomplit sous la nomenclature de la 'gouvernance'. Les institutions publiques se voient caricaturées comme le repère d'une coterie de privilégiés (fonctionnaires et titulaires) dont il faut se méfier (...) » (Alain Deneault, “La médiocratie”, Lux Editions, 2015, p. 198.)
Préférant se rallier à la pensée de droite, « La gauche n'a produit aucun nouveau cadre général de la pensée économique depuis 80 ans. Alors que la demande des consommateurs et la croissance économique sont les moteurs de la destruction de l'environnement (...) Il ne suffit pas de s'opposer à un système à bout de souffle, il faut aussi proposer une alternative cohérente. Et donc concevoir un nouveau système de pensée, adapté aux exigences d'aujourd'hui. » (The Guardian, 16 juin 2016.)
Tout est dit, mais tout reste à faire.
Notons encore que cette péripétie mineure mais néanmoins significative de l'état d'esprit libéral du maïeur socialiste, confirme également une chose déjà connue, à savoir que l’opinion du citoyen qui s'exprime contradictoirement à Ath est considérée comme une joyeuse illusion.
« Der Teufel steckt im Detail » (Friedrich Nietzsche). Le diable est dans les détails.
Ode à l’ultra-, à l’hyper-, et au néolibéralisme
Octobre 2016
La Dernière Heure :
Octobre 2016
« S’il est une personnalité qui semble faire l’unanimité dans nos pays, c’est bien Sa Sainteté le Dalaï-Lama. Comme le fait remarquer ironiquement Pascale Seys dans une récente chronique sur la RTBF, même l’anticlérical le plus rabique lui donnera de « Sa Sainteté », tout en refusant farouchement d’user des mêmes termes pour désigner le pape François. Mais est-il si saint et si sage, ce Prix Nobel de la paix ?
« Comme nombre de mes contemporains, j’en étais convaincu. Comment ne pas aimer un apôtre de la non-violence, victime de ces méchants Chinois qui ont violemment envahi son gentil petit pays, ce paradis perché dans l’Himalaya et que les BD de Cosey avaient contribué à rendre plus sympathique encore ? Dans notre Occident en crise de foi, où les religions s’apparentent à la violence ou à des combats réactionnaires contre les droits de l’homme, et en particulier ceux de la femme, le bouddhisme tibétain paraît une planche de salut à tous ceux qui, confusément, ne veulent pas renoncer à la spiritualité – dont, sans doute, l’humanité a besoin. » (Vincent Engel)
Septembre 2016
Outre le fait de ne pas avoir participé à la semaine de la mobilité, épinglons également que :
« Établi en collaboration avec la Ville et l’Institut de conseil et d’études en développement durable (ICEDD), le plan communal cyclable et piéton (PCCP) d’Ath existe depuis plus de deux ans. Enfin, il existe officieusement car il s’empoussière manifestement dans les tiroirs tant que le conseil communal ne l’adopte pas officiellement pour ensuite le mettre progressivement en pratique. »
(Le Courrier de l'Escaut)
* Pour une vie de moindre qualité généralisée :
TOUS AU TRAVAIL LE DIMANCHE !
* Pour la destruction de la vie de famille :
TOUS AU TRAVAIL LE DIMANCHE !
* Pour des travailleurs taillables et corvéables à merci:
TOUS AU TRAVAIL LE DIMANCHE !
* Pour des horaires flexibles au gré des intérêts des patrons :
TOUS AU TRAVAIL LE DIMANCHE !
* Pour une surconsommation 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 :
TOUS AU TRAVAIL LE DIMANCHE !
* Pour la fin du repos dominical :
TOUS AU TRAVAIL LE DIMANCHE !
* Pour la fabrication d'un monde de déséquilibrés :
TOUS AU TRAVAIL LE DIMANCHE !
Août 2016
De plus en plus de théologiens et de religieux évoquent la réforme de l’islam.
De quoi s’agit-il précisément ?
Ghaleb Bencheikh : Le mot « réforme » est un peu problématique, on ne sait pas à quoi il renvoie. Pour ma part, je parle plutôt de refondation de la pensée théologique pour sortir de la pensée magique, de la raison religieuse et laisser place à la raison critique autonome. Refonder pour dégeler les glaciations idéologiques, en finir avec les clôtures dogmatiques, avec les représentations superstitieuses et se soustraire à l’argument d’autorité. Il faut renouveler la pensée théologique pour libérer l’esprit de sa prison. C’est primordial, indispensable de le faire. Il faut amaigrir le sacré, qui est devenu de plus en plus obèse, se débarrasser de la religiosité aliénante, avec la normativité asphyxiante. Laissons place à l’intelligence, à l’humanisme et à la notion même de progrès et de civilisation.
Suite ci-après :
L'essentiel dans la vie n'est pas la foi ou l'espérance, la production ou la consommation, le fun ou les honneurs, le rang, le grade ou l'argent, les diplômes ou les médailles, la fonction ou l'âge.
L'essentiel se trouve ailleurs : dans la capacité de fraternité, de compassion, de solidarité, de respect, de tolérance, de justice, de vérité, de liberté, de courage de l'acte et du propos, de beauté, de tendresse, de clairvoyance et d'intelligence que nous distillons autour de nous.
Nous vivons un formidable basculement du monde qui brouille et qui ébranle toutes les sociétés et autorités, toutes les économies et institutions, les cultures et croyances. Nous sommes au cœur d’un bouleversement tel qu’il peut probablement être comparé à l’importance de la révolution qui marqua le passage du paléolithique au néolithique ou que suscita, au 19e siècle, l’apparition de l’industrialisation. Il reste donc bien du pain sur la planche. Demain est un autre jour et annonce d’autres aventures.
Demain est un autre jour, camarade.